Je me nomme Jean-François Labiausse et suis né en 1956. Après avoir fait des études d’électronique, j’ai intégré en tant que technicien de maintenance audio/vidéo l’Institut National de l’Audiovisuel situé en région parisienne et surtout connu pour la restauration et la diffusion d’archives audiovisuelles.


Je me suis initié à la photographie avec un premier reflex Minolta acheté en 1978. Puis quelques boîtiers et de nombreuses pellicules 35 mm plus tard le numérique est apparu.


Une technologie qui a permis entre autres de s’affranchir du coût des prises de vues et du délai du développement de la pellicule étant donné que l’on pouvait désormais « shooter » sans retenue et voir les résultats immédiatement.


Sans cette possibilité, la photo de percussion de gouttes d’eau que j’ai découvert au hasard de mes recherches sur internet dans le domaine de la photographie haute vitesse aurait été simplement impossible.


Je craignais, sans doute par prétention, que j’aurai assez rapidement fait le tour de la question. Mais c’était mal connaître les caprices de ces chères gouttes d’eau. Car même si j’étais parvenu à maitriser l’environnement technique nécessaire à cette passion, les percussions ainsi engendrées se suivaient mais ne se ressemblaient aucunement.


Et c’est bien qu’il en soit ainsi. Car cette caractéristique ouvre par là même la porte à de nouvelles expérimentations que l’on espère les plus créatrices possibles.

My name is Jean-François Labiausse and was born in France in 1956. After electronic studies, I joined as a maintenance technician audio / video the Audiovisual National Institute located in the Paris suburbs and especially known for the restoration and distribution of audiovisual archives.

 I was introduced to photography with first a Minolta SLR bought in 1978. Then some cameras and many 35mm film later came the digital.

A technology that allowed among others to overcome the cost of shooting and delay of the development of the film as we could now shoot unrestrained and see the results immediately.

Without this possibility, the photo of water drops percussion that I discovered during my research on the internet in high-speed photography field would have been impossible.

I was afraid, probably by pretension, I have enough raced around the issue. But I was wrong about the whims of those dear drops of water. Because even if I had managed to master the technical environment necessary for this passion, percussion thus generated is followed but is in no alike.

And it is so be it. Because this characteristic is thereby opening up the door to new experiments that we hope most creative potential.

Copyright © Jean-François Labiausse 2020